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Parce que c'est New York, la rue, les sirènes, la police, les poursuites en voitures, les geules pas possibles des série noires américaines, les payasages désolés, démesurés des film des années cinquante, la rue à New York est un monde en soit.
Entre les façades des tours de Manhattan, on est à la fois opréssé et plongé dans l'agitation d'une fourmilière géante. Pas de repos sur le plancher des vaches, on est au cinéma et dans la vie réelle, dans le rêve et le cauchemar...
Ville troublante, première mégalopole où la verticalité devient un mode de représentation, où les canyons urbains deviennent les horizons de notre quotidien, où le ciel n'est plus qu'un rectangle limité dans le ciel, où le délire et l'égo des hommes crèvent sans fin le plafond du ciel azur.
New York restera la première ville au monde à avoir créé ce paysage, la première à l'avoir transfigurer.
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Figure emblématique du paysage Newyorkais, l’Empire State Building est le fruit de l’explosion économique de la jeune Amérique des années 20. Si les premiers buildings voit le jour à Chicago, c’est à New-York que la rivalité entre les grandes entreprises américaines va donner lieu à une floraison désordonnée et somptueuse des gratte-ciels tous plus haut les uns que les autres, et tous d’un luxe inouï, ils sont les véritables palais modernes d’une industrie toute puissante. C’est la rivalité […]